3 avril 2008
Le téheuaireu
Le sas de décompression.
Le lieu de reconnexion.
On tombe du tgv et il nous cueille.
Les premiers temps, je ne m’étais pas rendue compte que j’habitais désormais à Paris.
C’est lui qui me l’a dit. Quand je le reprenais, oh fan, comme ça faisait du bien. C’est là que je mesurais tout ce qui m’avait manqué. Et le parler marseillais en priorité.
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